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Des humains et des chiens-guides d’INCA : Sandy et Keller

Sandy et de son chien-guide Keller, marchant sur un trottoir dans un quartier animé du centre-ville par une journée froide.
« Chaque aspect de ma vie a été amélioré par Keller. C'est un lien qui va au-delà du simple fait de vivre ensemble - c'est un chien qui m'aime et que j'aime plus que tout, » – Sandy

« Les temps ont beaucoup changé depuis que j'ai eu mon premier chien-guide en 1992.  À l’époque j'ai eu des problèmes car les restaurants essayaient de m'empêcher d'entrer dans leurs établissements parce que j'étais accompagnée d'un chien-guide. Mais depuis lors, j'ai eu des interactions plus positives avec les entreprises parce que le personnel en est venu à comprendre la nécessité des chiens-guides et à respecter les droits de leurs maîtres. Grâce aux campagnes de sensibilisation du public menées par les organisations de défense de chiens-guides, de nombreuses entreprises comprennent maintenant qu'il est interdit par la loi de discriminer contre un chiens-guides et son maître.  Avec Keller, je n'ai jamais eu de problème. Tout le monde a été très accueillant avec nous. Ma rencontre avec Keller a été comme une reprise en charge de mon autonomie. J'avais perdu mon chien précédent cinq mois avant de le rencontrer et je ressentais vraiment cette perte. Keller est e genre d’animal que je n'avais jamais rencontré auparavant. C'est un chien très performant, intelligent, extraverti et toujours prêt à relever des défis. Il me donne la confiance nécessaire pour sortir de ma zone de confort. Il m'a donné l'autonomie et la sécurité nécessaires pour rendre visite à mon père lorsqu'il était à l'hôpital. Avant de le rencontrer, même une chose aussi simple qu'une visite à la banque aurait été un défi pour moi. Chaque aspect de ma vie a été amélioré par Keller. C'est un lien qui va au-delà du simple fait de vivre ensemble - c'est un chien qui m'aime et que j'aime plus que tout. »